Près de 3 000 personnes s'installent dans le village à côté en attendant le pont

La France a déjà construit des postes frontières, occupés par 25 policiers qui surveillent le pont pour qu'il reste inutile. Guyanais et Brésiliens continuent de le traverser sans passeport ni formalité douanière. Attirés par la perspective d'un pont, près de 3 000 personnes sont venues s'installer dans la petite ville mitoyenne de Saint-Georges. Le nombre d'habitants a doublé et le maire est en colère car il doit gérer, à lui seul, les conséquences de cet afflux massif d'habitants.